A l’heure des incertitudes économiques, de la situation des comptes publics délicate et du rabotage prévisible des montants des retraites, investir le plus tôt possible parait être la meilleure solution pour s’assurer un avenir serein. Or la bourse est le vecteur d’investissement connu pour avoir le meilleur rendement sur le long terme. Malheureusement, investir en bourse peut sembler intimidant pour les non-initiés et beaucoup de personne y renonce. Mais avec quelques connaissances de base et une stratégie réfléchie, il est possible de maximiser ses chances de succès. Ce guide vous aidera à comprendre les principes fondamentaux de l’investissement en bourse, spécialement conçus pour les débutants qui souhaitent se lancer dans cette aventure financière.
Comprendre les bases de la bourse
Qu’est-ce que la bourse?
La bourse est un marché où sont échangées des actions de sociétés cotées. Acheter des actions signifie acheter une part de propriété d’une entreprise. Ces actions peuvent augmenter ou diminuer en valeur en fonction de divers facteurs, parmi lesquels les performances financières de l’entreprise, les conditions économiques globales et les tendances du marché.
C’est également sur ces marchés que se négocient d’autres instruments financiers comme les obligations, les ETF (Exchange-Traded Funds) et les produits dérivés. Apprendre à naviguer dans cet univers requiert une certaine compréhension des outils disponibles et des stratégies possibles pour optimiser ses investissements.
Pourquoi investir en bourse?
Investir en bourse permet potentiellement de faire fructifier son capital sur le long terme. Contrairement aux comptes épargne traditionnels, les investissements en actions offrent généralement des rendements plus élevés, bien qu’ils comportent aussi des risques accrus. C’est là que la diversification joue un rôle essentiel pour réduire les risques et maximiser les profits.
De plus, ajouter des actifs boursiers à son portefeuille peut offrir une protection contre l’inflation et contribuer à divers objectifs financiers tels que la retraite, l’achat d’une maison ou le financement des études des enfants. Cependant, il est crucial de définir sa tolérance au risque et de gérer son budget d’investissement de manière prudente avant de se lancer.
Les différents types de placements
Comprendre les différents types de placements disponibles est un premier pas essentiel. Les options d’investissement sont nombreuses, allant des actions traditionnelles aux trackers ETF, en passant par les obligations et autres instruments plus sophistiqués comme les certificats de placement.
Les actions : une porte ouverte vers la propriété d’entreprise
L’achat d’actions est l’un des moyens les plus directs d’investir en bourse. Une action représente une part de propriété dans une entreprise. Lorsqu’une personne achète des actions, elle devient actionnaire et acquiert certains droits, tels que le droit de vote lors des assemblées générales et le droit aux dividendes lorsque l’entreprise distribue une partie de ses bénéfices.
Investir dans des actions peut offrir des rendements élevés, surtout si l’entreprise performe bien. Cependant, cela comporte aussi des risques importants. La valeur des actions peut fluctuer considérablement en fonction des performances de l’entreprise, des conditions économiques générales et des événements imprévus.
Les avantages des actions
Pourquoi opter pour les actions ? Tout d’abord, elles offrent un potentiel de croissance significatif. En détenant des parts d’une entreprise prospère, un investisseur peut voir son investissement augmenter rapidement. De plus, les dividendes peuvent fournir un revenu régulier si l’entreprise décide de redistribuer une partie de ses profits.
Un autre avantage à noter est la liquidité. La plupart des actions cotées en bourse peuvent être achetées et vendues rapidement au prix du marché, permettant aux investisseurs de réagir promptement aux changements du marché.
Les risques des actions
Malgré leurs avantages, les actions présentent également des risques. Leur valeur peut varier fortement à court terme, ce qui peut entraîner des pertes significatives. Par exemple, une mauvaise nouvelle concernant l’entreprise ou une crise économique globale peut faire chuter le cours d’une action.
De plus, contrairement à d’autres types de placements plus sécurisés comme les obligations, il n’y a aucune garantie de récupérer le capital investi. C’est pourquoi il est souvent conseillé de diversifier son portefeuille pour mitiger les risques.
Les obligations : une option plus stable
Contrairement aux actions, les obligations représentent une forme de dette contractée par une entreprise ou un gouvernement auprès des investisseurs. Lorsque vous achetez une obligation, vous prêtez essentiellement de l’argent à l’émetteur en échange de paiements d’intérêts réguliers et du remboursement du capital à l’échéance.
Les obligations sont généralement considérées comme moins risquées que les actions car elles offrent un flux de revenu prévisible et ont priorité sur les actions en cas de liquidation de l’entreprise émettrice. Cependant, elles comportent aussi des risques, notamment en termes de taux d’intérêt et de crédit.
Pourquoi investir dans les obligations
Parmi les principaux attraits des obligations, on trouve leur stabilité relative. Elles offrent une source fiable de revenus grâce aux paiements d’intérêts fixes et réguliers. Cela en fait une option prisée pour les investisseurs cherchant un flux de revenu sécurisé.
En outre, les obligations peuvent jouer un rôle clé dans la diversification d’un portefeuille. En ajoutant des obligations à un portefeuille principalement composé d’actions, il est possible de réduire la volatilité globale et de protéger contre les baisses soudaines du marché boursier.
Points à considérer avant d’investir dans les obligations
Malgré leur stabilité, les obligations ne sont pas exemptes de risques. Le principal risque est celui lié aux taux d’intérêt. Si les taux augmentent, la valeur des obligations existantes tend à diminuer. De même, le risque de crédit est à prendre en compte. Si l’émetteur de l’obligation rencontre des difficultés financières, il pourrait faire défaut sur ses paiements d’intérêts ou sur le remboursement du capital.
Enfin, les obligations offrent généralement des rendements inférieurs aux actions. Cela signifie qu’elles pourraient ne pas suivre le rythme de l’inflation à long terme, réduisant ainsi le pouvoir d’achat réel des investisseurs.
Les fonds communs de placement et OPCVM : l’investissement collectif
Les fonds communs de placement (FCP) et les organismes de placement collectif en valeurs mobilières (OPCVM) sont des instruments financiers qui réunissent l’argent de nombreux investisseurs pour acheter un portefeuille diversifié de titres. Ces fonds sont gérés par des professionnels, ce qui permet aux investisseurs de bénéficier d’une gestion experte sans avoir à se soucier des détails complexes de chaque titre détenu.
Ces produits permettent une diversification plus large avec une mise de départ relativement faible, rendant l’investissement accessible à un grand nombre de personnes. De plus, ils offrent une opportunité de bénéficier d’investissements variés tout en mitigant les risques associés à la détention directe d’actions ou d’obligations individuelles.
Les avantages des placements collectifs
Un des grands avantages des fonds communs de placement et des OPCVM réside dans leur gestion professionnelle. Les gestionnaires de fonds prennent des décisions éclairées basées sur des analyses approfondies et une connaissance détaillée des marchés.
En outre, la diversification offerte par ces fonds réduit le risque global pour l’investisseur. Au lieu de dépendre de quelques titres, le risque est réparti sur plusieurs investissements, ce qui diminue l’impact potentiel de la défaillance d’un seul actif.
Inconvénients des fonds communs de placement et OPCVM
Cependant, ces instruments ne sont pas sans inconvénients. Les frais de gestion sont souvent plus élevés comparés à l’achat direct de titres. Ces frais peuvent affecter les rendements nets obtenus par les investisseurs.
Aussi, les investisseurs ont moins de contrôle sur les décisions d’investissement. Ils doivent faire confiance aux gestionnaires de fonds pour choisir les titres appropriés et effectuer les ajustements nécessaires en fonction des conditions du marché.
Les ETF : une alternative moderne aux placements traditionnels
Les fonds négociés en bourse (FNB), également connus sous l’acronyme anglais « ETF » (Exchange-Traded Funds), combinent certaines des meilleures caractéristiques des actions et des fonds communs de placement. Comme les actions, les ETF sont cotés en bourse et peuvent être échangés tout au long de la journée au prix du marché. Comme les fonds communs de placement, ils offrent une diversification instantanée, car chaque ETF contient une sélection variée de titres.
Les ETF sont devenus populaires en raison de leurs faibles coûts de gestion et de leur flexibilité. Ils couvrent une large gamme d’actifs, y compris les actions, les obligations, les matières premières, et même des secteurs spécifiques ou des indices boursiers entiers. De par leur construction, les ETF permettent de construire un portefeuille boursier performant et diversifié sans avoir à gérer et suivre chaque titre qui le compose indépendamment.
Notons également l’existence des ETF Smart Beta qui, contrairement aux ETF traditionnels suivant passivement un indice pondéré par la capitalisation boursière, appliquent des règles de pondération spécifiques afin de surperformer leur indice de référence ou d’offrir une meilleure diversification de portefeuille.
Les avantages des ETF
Grâce à leur structure, les ETF offrent des frais de gestion plus bas comparés aux fonds communs de placement. Leur transparence est également un atout majeur : les compositions des ETF sont généralement publiées quotidiennement, permettant aux investisseurs de savoir exactement dans quels actifs ils investissent.
De plus, les ETF offrent une flexibilité accrue, car ils peuvent être achetés et vendus comme des actions pendant les heures de marché. Cette caractéristique permet aux investisseurs de répondre rapidement aux fluctuations du marché.
Risques associés aux ETF
Comme tout instrument financier, les ETF présentent des risques. Bien que diversifiés, ils restent exposés aux mêmes risques de marché que les actions ou les obligations sous-jacentes. En période de volatilité, la valeur des parts d’ETF peut fluctuer de manière significative.
De plus, étant donné que les ETF sont négociés en bourse, ils peuvent parfois souffrir de problèmes de liquidité, surtout pour ceux qui suivent des indices de niche ou moins connus. Les erreurs possibles dans la réplication de l’indice suivi peuvent également affecter les performances.
Les différentes enveloppes fiscales pour investir en bourse
En France, plusieurs enveloppes fiscales permettent d’optimiser l’investissement en bourse, chacune ayant ses avantages fiscaux et caractéristiques propres. Nous allons maintenant explorer les quatre principales options :
- le plan d’épargne en actions (PEA),
- le compte-titres ordinaire (CTO),
- l’assurance-vie avec unités de compte (UC),
- le plan épargne retraite (PER) individuel d’investissement.
Le plan d’épargne en actions (PEA)
Caractéristiques du PEA
Le plan d’épargne en actions ou PEA est une enveloppe fiscale destinée à encourager l’investissement en actions européennes. Il permet de bénéficier d’une exonération d’impôts sur les revenus générés sous certaines conditions. L’ouverture d’un PEA se fait auprès de banques ou d’assureurs.
Le plafond des versements pour un PEA classique est fixé à 150 000 euros. Pour le PEA-PME, conçu pour encourager l’investissement dans les petites et moyennes entreprises, ce plafond s’élève à 75 000 euros. Les frais de gestion et de courtage varient selon les établissements financiers.
Avantages fiscaux du PEA
Un des principaux attraits du PEA réside dans ses avantages fiscaux. Après cinq ans de détention, les gains (plus-values, dividendes) réalisés sont exonérés d’impôt sur le revenu. Toutefois, les prélèvements sociaux restent dus, quel que soit le délai de détention. Cela représente un avantage fiscal non négligeable pour ceux qui souhaitent investir en bourse à long terme.
Le compte-titres ordinaire (CTO)
Caractéristiques du CTO
Contrairement au PEA, le compte-titres ordinaire (CTO) ne comporte pas de restriction géographique concernant les actifs achetés. On peut y investir dans des titres du monde entier, qu’il s’agisse d’actions, d’obligations, de fonds ou d’autres instruments financiers. Le CTO offre ainsi une grande flexibilité en termes de diversification de portefeuille.
Il n’y a pas de plafond de versement pour le CTO, et il est donc possible d’y placer autant de capitaux que l’on souhaite. Cette option convient particulièrement à ceux qui veulent diversifier un capital considérable sans aucune contrainte de montant.
Fiscalité du CTO
La fiscalité du CTO est moins attractive que celle du PEA ou de l’assurance-vie. Les plus-values sont soumises au prélèvement forfaitaire unique (PFU) de 30% ou, sur option, au barème progressif de l’impôt sur le revenu. Ce taux inclut les prélèvements sociaux de 17,2%. Les dividendes suivent la même taxation. Malgré cela, le CTO reste une solution prisée en raison de sa souplesse et de sa diversité d’investissement.
L’assurance-vie avec unités de compte (UC)
Caractéristiques de l’assurance-vie
L’assurance-vie est souvent perçue comme une solution d’épargne longue à base de fonds Euro, mais elle peut également servir pour l’investissement en bourse grâce aux unités de compte (UC). Les UC sont des supports investis en valeurs mobilières – actions, obligations, SCPI – dont la valeur fluctue en fonction des marchés financiers.
En souscrivant une assurance-vie, on bénéficie d’un double avantage : la possibilité de diversifier ses placements tout en profitant d’une fiscalité favorable. De plus, l’assurance-vie permet de gérer sereinement sa transmission de patrimoine grâce à son cadre avantageux en cas de succession.
Régime fiscal de l’assurance-vie
La fiscalité de l’assurance-vie dépend de la durée de vie du contrat. Avant huit ans, les gains sont soumis aux prélèvements sociaux et au PFU de 30%. Au-delà de huit ans, ces gains bénéficient d’un abattement annuel de 4 600 euros pour une personne seule ou 9 200 euros pour un couple marié ou pacsé. Les prélèvements sociaux s’appliquent toujours.
Ainsi, l’assurance-vie avec des unités de compte peut être un outil puissant pour qui souhaite investir en bourse tout en bénéficiant de conditions fiscales intéressantes sur le long terme.
Le plan épargne retraite (PER) individuel d’investissement
Fonctionnement du PER
Introduit par la loi Pacte, le plan épargne retraite (PER) individuel permet de préparer sa retraite tout en investissant sur les marchés financiers. Un PER individuel est composé de trois compartiments : versements volontaires, sommes issues de la participation/intéressement et anciens dispositifs d’épargne retraite. Chacun de ces compartiments bénéficie d’une fiscalité spécifique.
Une fois les fonds versés dans un PER, ils sont investis dans divers supports choisis par l’épargnant. Ces investissements peuvent inclure des actions, des obligations ou des fonds diversifiés, semblables à ceux d’une assurance-vie en unités de compte. Le PER individualise encore plus l’épargne puisque chaque contribuable est libre de déterminer l’allocation de ses actifs.
Avantages fiscaux du PER
Le principal atout fiscal du PER réside dans la possibilité de déduire les versements effectués des revenus imposables dans la limite d’un plafond global. Ainsi, il permet de réduire la base imposable et potentiellement le montant de l’imposition immédiate. Lors de la liquidation du plan, les sommes constituées seront alors taxées selon un régime propre à chaque type de sortie (rente ou capital).
Les rentes viagères sont soumises à une imposition de droit commun des pensions de retraite après application d’un abattement de 10%. Les sorties en capital sont quant à elles partiellement taxées ; seules les plus-values sont soumises à la flat tax de 30%, sachant que les versements sont soumis aux prélèvements sociaux de 17,2% lors du retrait final.
Choisir un intermédiaire financier ou courtier
Critères de sélection
Le choix du bon intermédiaire financier ou courtier est crucial pour optimiser ses transactions. Il existe plusieurs critères à prendre en compte avant de faire votre choix :
- Frais et commissions : Comparez les frais de transaction, de garde et de tenue de compte.
- Plateforme de trading : Évaluez la facilité d’utilisation et les outils disponibles (analyse graphique, accès à des données en temps réel, etc.).
- Offre de produits : Assurez-vous que le courtier propose une gamme de produits adaptés à vos besoins (actions, ETF, options, etc.).
- Service client : Vérifiez la disponibilité et la qualité du service client.
Comparaison des options disponibles
Il est également utile de comparer les courtiers en ligne avec les banques traditionnelles. Les courtiers en ligne offrent souvent des frais réduits et une plateforme plus orientée investisseurs actifs. Les banques traditionnelles peuvent offrir des conseils personnalisés et un service client plus humain, mais elles ont tendance à pratiquer des tarifs plus élevés.
Ne négligez pas de lire les avis clients et de tester les plateformes proposées avant de prendre votre décision. Il pourrait être avantageux de commencer avec un courtier proposant une version démo pour s’habituer à l’interface sans risquer son argent.
Élaborer une stratégie d’investissement
Définir ses objectifs
Avant d’investir en bourse, il est essentiel de définir clairement ses objectifs financiers. Cherchez-vous à faire croître votre patrimoine sur le long terme ? Souhaitez-vous générer des revenus complémentaires via les dividendes ? Ou cherchez-vous des gains rapides par le biais du trading?
Identifier ses objectifs permet de déterminer la meilleure stratégie d’investissement à adopter. Par exemple, une personne cherchant la sécurité privilégiera probablement des actions de grandes entreprises stables et des obligations, tandis qu’une autre souhaitant de hauts rendements pourra se tourner vers les actions de croissance et les secteurs technologiques.
Gérer son budget d’investissement
Un autre aspect crucial est la gestion du budget d’investissement. Décidez combien vous êtes prêt à investir tout en assurant que cela n’affecte pas vos finances quotidiennes. Allouez une portion de vos économies à cet investissement et tenez-vous-en à ce montant initial.
Il est aussi conseillé de ne pas investir de sommes que vous ne pouvez pas vous permettre de perdre. La tolérance au risque varie d’un individu à l’autre. Il est donc vital de connaître la vôtre avant de vous engager à investir en bourse.
Combien d’argent devez-vous placer sur le marché boursier lorsque vous débutez ?
Plusieurs courtiers en ligne ne facturent pas de frais si vous n’avez pas d’argent sur votre compte et n’exigent pas de dépôt minimum pour créer un compte de trading. Avec aussi peu que 100 €, vous pouvez commencer à investir.
Les courtiers à prix réduit sont une aubaine pour les investisseurs débutants à faible revenu qui souhaitent s’initier au marché boursier avec de petites participations.
Un courtier bon marché, en revanche, offre rarement des conseils ou des analyses. Beaucoup de ces courtiers n’exigent pas de dépôt minimum pour ouvrir un compte, tandis que d’autres ont un dépôt minimum de 1 000 €.
Diversification
La diversification est une stratégie identifiée pour minimiser les risques. Investissez dans différentes classes d’actifs, secteurs, et zones géographiques afin de ne pas mettre tous vos œufs dans le même panier. Ceci peut inclure une combinaison d’actions, d’obligations, et de fonds d’investissement.
Les ETF sont un excellent moyen de diversifier un portefeuille, car ils permettent d’investir dans plusieurs entreprises avec un seul produit. Commencez par un ETF large représentant un indice majeur pour obtenir une exposition générale.
Vous pouvez également vous diversifiez dans des secteurs autres que le bourse comme l’immobilier (en direct ou via une SCI) ou même des investissement plus exotiques comme le bitcoin. Toutefois, on vous déconseille une diversification excessive. Tenez-vous-en aux secteurs qui vous sont familiers et si vous découvrez que vous êtes excellent (ou à l’aise) dans l’évaluation d’un certain type d’actions, il n’y a rien de mal à ce que ce secteur représente une part importante de votre portefeuille.
Formation continue
Apprenez constamment et mettez à jour vos connaissances pour rester informé des dernières tendances et des meilleures pratiques. Suivez des cours, apprenez les secrets d’un bon investissement selon Warren Buffett, lisez des livres, assistez à des séminaires et consultez des experts pour améliorer vos compétences en investissement. La formation continue est essentielle pour évoluer et réussir à long terme dans l’univers complexe de la bourse.
Réflexions finales
Il vous faudra peut-être un certain temps pour apprendre à investir dans une bourse, mais une fois que vous l’aurez fait, vous serez sur la bonne voie pour accumuler des richesses. Pour réduire les risques, lisez de nombreux sites Web consacrés à l’investissement, essayez différents courtiers et applications de négociation d’actions, et diversifiez votre portefeuille.
Vous pourrez vous considérer comme un actionnaire avant même de vous en rendre compte si vous gardez à l’esprit votre tolérance au risque et vos objectifs financiers.
